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Cettr histoire écrite en collaboration avec une lectrice du site commence doucement. Laissez le temps aux héros de prendre leur marques.
Le pari
Mike sirote un whisky “on the rock”. Assis à la terrasse avec vue sur l’accueil, il regarde l’arrivée des nouveaux vacanciers de la semaine.
Cela fait trois semaines qu’il a pris ses quartiers dans cette cité balnéaire du sud-ouest. Une nouveauté pour lui qui avait l’habitude des étés au Cap d’Agde. Mais il avait eu envie de changer de secteur. Quand on pêche trop souvent au même endroit, les prises se raréfient.
Des voix à l’accueil attirent son attention, deux nanas la trentaine blondes, à leur allure, des allemandes. “Lesbiennes! Aucun intérêt!”
Les suivants, un couple de retraités britannique, arrivés avec une Lotus, ils doivent avoir du fric. “Si le mari est joueur, ça peut le faire au casino sur une table de poker. La femme, après vingt ans de prison et une bonne biture, ça pourrait éventuellement le faire pour l’hygiène!”
Sa dernière conquête, une quadragénaire divorcée venue s’encanailler sur la côte avant de récupérer ses enfants en vacances chez leur père, était partie dans la matinée. Il fallait absolument qu’il trouve une femme pour la semaine. Les étudiantes qui bossaient pour l’été étaient le plus souvent totalement rincées le soir. Et un mec de son âge, ça ne les intéressait que pour le fric.
C’est alors qu’il les voit s’approcher. Ils viennent de garer leur Audi sur le petit parking. Ils parlent français, premier bon point.
Mike se lève et se rapproche de l’accueil pour tenter d’entendre. La voiture est immatriculée en Île de France, Yvelines, vu la caisse plutôt Le Chesnay que Les Mureaux.
— Oui nous avons réservé pour quinze jours… dit l’homme, tandis que sa femme reste en retrait
“Bingo!” se dit Mike.
— Oui je vous ai trouvé, répondit le réceptionniste, un homosexuel lorgnant sur les pectoraux du Black qui passait comme si de rien n’était derrière le couple.
— Monsieur et Madame Simplon? Erik et Déborah! Voilà votre clé. Le bungalow 18, au bout de l’allée, vous aurez une superbe vue sur l’océan au soleil couchant.
Quel beau parleur ce Steve, pense Mike. Enfin, il a les infos qu’il voulait. Il ne sera pas un voisin direct, il a le bungalow 20, mais il les verra quand ils seront sur leur terrasse et ils seront obligés de passer devant le sien pour descendre à la plage et venir au lodge pour les repas. Il ne les imagine pas préparer leur repas dans leur bungalow, ce n’est pas le style!
Mike examine Erik, moins costaud et physiquement moins impressionnant que lui mais son bermuda dévoile des jambes et des cuisses de sportif, trail, cyclisme ou d’autres sports qui développent les mollets et les cuisses.
Il laisse ensuite traîner son regard sur Déborah, une rousse, il n’en avait encore jamais sauté, grande, avec un joli cul travaillé aux squats et une taille fine. Sa robe d’été dévoile aussi des cuisses musclées, peut-être que ces deux-là font leur jogging du matin ensemble. A surveiller! En tout cas, dans sa jeunesse, elle n’aurait pas été ridicule sur le plateau de Miss France. D’où il se tient, impossible d’avoir une bonne idée de sa poitrine, mais elle n’a pas des œufs au plat.
Autre point positif, ce couple dans la trentaine n’a pas d’enfants. Mariés, il avait repéré les alliances.
Accoudé au bar, il lève son verre dans leur direction quand ils quittent la réception. Il aperçoit un sourire fugace sur le visage du blond qui murmure quelque chose à l’oreille de sa femme. Il voit aussi clairement la main de l’homme venir se poser sur la cuisses de sa femme et remonter un peu la robe, dévoilant à Mike une cuisse parfaite sans un gramme de cellulite.
“Arrête!” entend-il en voyant la rousse se retourner vers lui.
Il lui sourit une nouvelle fois et elle tourne rapidement les yeux dans un mouvement de tête qui donne un mouvement gracieux à sa longue chevelure.
***
— Elle te plaît, la rousse! lui dit Steve quand ils sont seuls.
— Elle a de beaux atouts, en effet! Et toi le blondinet ne t’as pas laissé indifférent non plus, lui répondit Mike.
— Je suis sur que c’est un homo refoulé!
— Tu dis cela à chaque fois… Faut te faire une raison, tous les beaux mecs ne sont pas gays!
— Et toi! Toutes les jolies femmes ne sont pas des salopes qui rêvent d’être tringlées par un Black… d’ailleurs, tu te vantes de ton engin mais je ne crois que ce que je vois… ou suce!
— Tu peux toujours te brosser! Compte la dessus et boit de l’eau!
— Je tentais ma chance… Tiens pour me faire pardonner, tu veux un autre verre?
— Avec plaisir! Ensuite j’irais voir comment ils sont installés et j’ai pas encore été nager! Je te parie un billet de cent qu’après avoir rangé leur affaire, je les retrouve sur la plage.
— Et moi qu’ils viennent au bar!
— Pari tenu!
***
— Tu as vu ce type à l’accueil, comment il m’a regardée!
— Lequel? Le réceptionniste?
— Non! Le grand black derrière! Comme Dikmen travesti s’il n’avait jamais vu une blanche de sa vie…
— Oui… J’ai vu! Mais, je l’ai trouvé plutôt sympa. Il nous a même fait un signe de tête.
— En tout cas, il me fait un peu peur… Tu crois que c’est un employé du club?
— Je ne pense pas! La montre qu’il a au poignet, il ne l’a pas acheté sur Wish!
***
Le couple traverse main dans la main le domaine suivi par un employé qui s’occupe de leurs bagages. Les allées larges bordées d’arbres étaient interdites aux voitures et il est demandé aux clients de marcher à côté de leur vélo. Seules les voiturettes électriques du personnel sont autorisées. Chaque bungalow est isolé des autres par une haie qui garantit un minimum d’intimité. Comme le leur a indiqué, le guide, leur cottage est situé au bord de la falaise, dominant d’un vingtaine de mètres la plage.
— On va être super bien ici! Tu as bien choisi mon chéri!
A quelques mètres derrière eux, Mike les suivait. Son regard ne quitte pas le fessier de la rousse qui fait balancer sa robe à chaque pas. Il ne peut pas s’empêcher de s’imaginer la prendre en levrette.
Il les voit entrer dans leur bungalow. Dans l’attente de la suite, il s’assied dans une chilienne sur la terrasse du sien. Allait-il gagner son pari avec Steve?
Il n’a pas à attendre longtemps. Il les entend approcher. Erik est en short de bain et chemise hawaiienne, tandis que Déborah porte un paréo nouée autour de sa taille qui masque son bas de maillot blanc.
Mike attend quelques minutes et attrape sa serviette pour descendre sur la plage. Il n’a pas de difficulté pour les retrouver. Une chevelure rousse, c’est comme un phare, on ne peut pas ne pas la voir. En s’approchant, il voit Déborah, dont le bas de maillot recouvre totalement ses fesses fermes, se diriger vers l’eau. Il aperçoit aussi un petit tatouage sur son épaule, avec la distance, difficile de voir exactement ce que c’est mais ça ressemble à un cœur.
— Bonjour, vous permettez que je pose ma serviette à côté des vôtres? Demande-t-il à Erik.
— Oui… la plage est à tout le monde… mais, il me semble vous avoir déjà vu, non?
— Bon observateur! Effectivement, j’étais au bar quand vous vous êtes enregistrés… Mike! Dit-il en tendant sa main.
Erik sentit la puissance de cette main lui écraser les phalanges, sans douleur, mais pour lui faire comprendre qui était le chef.
— Erik, et ma femme qui entre dans l’eau, Déborah…
— Enchanté, Erik!
Mike regarde la rousse qui a maintenant de l’eau jusqu’en haut des cuisses. L’instant délicat de l’entrée dans l’océan, le passage du ventre, surtout quand on vient de passer une chaude journée d’été. L’océan Atlantique sur la côte Bassue, ce n’est pas la Côte d’Azur ou les Caraïbes!
***
Déborah avance lentement, l’eau est fraîche, peut-être est-ce à cause de l’orage qu’il ont traversé juste avant d’arriver. Quand elle regarde autour d’elle, il y a peu de baigneurs, les surfeurs sont tous en combinaison. Mais elle veut montrer à Erik qu’elle est capable de se baigner. Elle avance pas après pas. L’eau atteint ses genoux, quand une vague arrive le niveau monte à son entrejambe. Elle se met sur la pointe des pieds. C’est vraiment frais par rapport à l’air extérieur! Elle baisse les yeux, elle voit ses tétons pointer sous le triangle de son haut. Erreur fatale! Elle n’aurait pas dû baisser les yeux. La vague suivante est bien plus haute que les autres et vient la frapper. C’est fait! Elle est mouillée.
Elle plonge alors dans la vague suivante et commence à faire quelques brasses en direction du large pour franchir la ligne de rouleaux. Elle a repéré une bouée à une cinquantaine de mètres, elle se fixe cet objectif. Pour une première baignade en mer, c’est déjà pas mal.
Quand elle regagne le rivage, elle voit alors un homme à côté d’Erik, un black! Elle est un peu surprise car habituellement son mari n’aime pas que les gens viennent s’installer trop près. Il dit toujours que la plage est grande.
Elle reconnaît cet homme, il n’a plus son t-shirt, mais elle n’a aucun doute. C’est celui qui leur a fait signe à l’accueil de l’hôtel. Il est vrai que sur cette plage juste en dessous de l’accès privé, il y avait de fortes chances que les quelques vacanciers profitant du soleil soient des clients de l’hôtel.
Elle se remet debout pour aller les rejoindre quand, une nouvelle fois, une vague traîtresse lui fait perdre l’équilibre. Elle émerge tout juste du rouleau qu’une nouvelle vague l’entraîne. Cette fois-ci, elle se retrouve à quatre pattes près du rivage. Les deux hommes à quelques mètres d’elle lui sourit et la fixe.
— Ta femme est canon! dit Mike à Erik qui le remercie l’air gêné.
Elle rougit quand elle réalise que sa poitrine est à la vue de tous.
“Pourquoi j’ai foutu ce maillot? En plus, blanc, j’espère qu’on voit pas au travers!” pense-t-elle.
— Putain de maillot! J’aurais mieux fait de mettre mon noir une pièce!” laisse-t-elle Dikmen travestileri échapper en remettant les triangles de tissus pour couvrir ses seins, enfin surtout ses tétons car le maillot n’est guère couvrant.
Elle a voulu faire plaisir à son mari qui aime la voir porter des tenues qui la mettent en valeur. Il lui a souvent avoué que cela l’excitait de voir les autres la regarder avec envie. Là, il est servi! Ils ont tous bien pu se rincer l’œil sur ses nichons. Enfin surtout le black!
Elle s’approche en souriant comme si rien ne s’était passé.
— Déborah, je te présente Mike. Il est au pavillon 20 pas loin du nôtre!
— Enchantée! lui dit-elle en lui tendant la main.
Mais Mike, au lieu de prendre la main qui se tend, approche son visage et lui pose un baiser sur la joue. Quand il se recule, il mate sans vergogne la poitrine de la rousse, en murmurant un commentaire qu’il sait qu’ils vont entendre;
“De beaux nichons de blanche!”
Déborah rougit et s’étonne qu’Erik ne réagisse pas. Au contraire, il sourit. Il a l’air heureux de la remarque du black.
— Je venais juste de demander à Erik si vous acceptiez de venir prendre l’apéro avec moi? Je connais un bar à tapas sympa en centre-ville si ça vous dit?
— Euh oui! Pourquoi pas!
— Super! Je vous attendrai à dix-huit heures au bar! On prendra ma voiture!
— D’accord nous serons là! lui répond Erik.
— Génial! Un petit selfie Déb’?
Sans attendre la réponse de la jeune femme, il la prend par l’épaule et prend une visage de leur deux visages, très proches, se touchant presque.
— Merci! à toute… et pour l’apéro, mets ta robe la plus courte! Je compte sur toi! Des jambes pareilles, faut les montrer! Tu ne crois pas Erik?
— Euh… oui, peut-être! C’est vrai qu’elle a de très belles jambes!
Prise sous les regards croisés des deux hommes, Déborah ne savait plus où donner de la tête. Cet Mike l’avait embrassé, prise en photo, appelée Déb’ et il lui demandait de venir en ville avec une robe courte. Pour qui se prend-il? En plus, son mari qui ne dit rien, ne pas faire de vagues, comme d’habitude…
Sur ces mots, Mike se lève et quitte la plage. Il va pouvoir réclamer son dû à Steve qui doit poireauter au bar. Avec la photo, il a la preuve de sa victoire.
***
Au pied de l’escalier, il se retourne vers le couple et leur fait un signe de la main avec un grand sourire. Il y est allé au culot, mais la rousse n’a pas eu l’air de le repousser quant au mari, il se demande ce qu’il mijote car il n’a pas l’air net. Il compte bien avancer d’autres pions dans la soirée.
Déborah retient sa colère. En fait, elle ne sait pas sur quel pied danser. Elle aurait voulu gifler ce type arrogant, machiste, avec ses airs supérieurs mais, en même temps, elle est subjuguée par son audace. Il l’a ouvertement draguée devant Erik, devant son mari. Elle se souvient de sa rencontre avec son mari.
Elle ne peut s’empêcher de penser que si cette situation s’était produite dix ans plus tôt à la salle de sport où elle avait croisé le regard d’Erik et été séduite par ses yeux bleus et son côté réservé qui ne veut pas faire de vague, au lieu de quitter la salle avec Erik, elle l’aurait peut être quitter avec Mike. Puis en y réfléchissant, elle se dit que non, finalement ce qui lui plaît chez Erik, c’est justement ce côté réservé, effacé, presque suiveur.
— Pourquoi tu n’as rien dit? Il m’a embrassée, il a pris un selfie avec moi…
— N’abuse pas, il t’a juste frôlé les joues et pour le selfie, il n’y a pas de mal. Il ne t’as même pas vraiment embrassée. Je ne vois pas le problème.
— C’est surtout qu’il est trop musclé pour que ça te pose un problème. Laisse tomber.
Le couple rentre dans son bungalow sans un mot. Déborah prend une bonne douche qui lui fait évacuer ses petites griefs contre son mari.
Elle a préparé sa robe et son tanga pour s’habiller dans la salle de bain, hors de la vue d’Erik, pour lui faire la surprise, c’est la première fois qu’elle met cette robe. Elle se regarde dans le miroir, vu les bretelles très fines, elle ne peut pas mettre de soutien-gorge et elle n’a pas pensé à prendre un soutien-gorge bandeau, cette robe est parfaitement ajustée, le bonheur d’avoir une taille mannequin.
Son mari a du mal à croire ce qu’il voit. Il sait que sa femme est belle mais, cette robe la sublime sans être provocante. Mike a raison, elle devrait plus souvent montrer ses jambes, pense t il.
— Tu es magnifique, waouh!
— Merci mon chéri.
Déborah saute au cou de son petit mari et lui entourant ses bras autour de son cou, elle l’embrasse amoureusement. Il la prend par la taille pour la serrer contre lui. Ces vacances commencent bien, se dit-il.
Elle se met un petit foulard, en tulle rose, sur les épaules, pour protéger ses épaules des derniers rayons du soleil, elle n’a pas envie de se badigeonner de crème solaire après sa douche.
Elle enfile ses Adidas blanches à bandes roses pour rejoindre Mike qui les Travesti dikmen attend sur le parking de l’hôtel à côté de sa BMW M5 aux vitres teintées.
***
Il regarde le petit couple arriver, elle dans une robe blanche qui dévoile ses longues jambes et lui, en bermuda blanc et chemise hawaiienne, assortie au foulard de sa femme.
Il remarque une seule fausse note, les Tennis de Déborah.
Appuyé, nonchalant contre la portière de sa voiture, il se dit que leur trio va faire fureur dans les rues de cette cité balnéaire, l’élégance française opposée à la vulgarité des touristes anglais ou allemands en claquettes chaussettes.
— Whaouhhh! Quelle classe! Avec tes lunettes de soleil relevées, tu fais star de ciné!
Il ouvre la portière et invite Déborah à monter devant.
— Allez! Monte poupée! Toi! dit-il en regardant Erik. Tu montes derrière!
Ce n’est pas une question mais un ordre. Déborah s’assied sur le siège en cuir brûlant. Elle tire un peu sur l’ourlet de sa robe qui dévoile un peu trop ses cuisses à son goût.
Mike ouvre le toit de sa voiture avant de démarrer. A chaque changement de vitesse, il s’arrange pour que sa main vienne frôler le genou ou la cuisse de la passagère. Derrière les vitres teintées, personne ne peut voir qui se trouve dans cette voiture qui a sa sono à fond.
Depuis le temps, qu,il est dans cette ville, il connaît assez bien les ruelles du centre ville. Il se gare à quelques centaines de mètres du bar ou il veut les emmener
— Plus près, toutes les places seront occupées. On va marcher un peu, cela ne vous gêne pas!
— Non, répond Erik. Et nous sommes en vacances!
— Exactement! Dit il en riant. Allez Déb’! On sort…
Sur le trottoir, il se place à côté de Déborah, forçant Erik à marcher derrière lui. Elle est gênée et essaie d’attraper la main de son mari qui, à sa grande surprise, ne cherche pas à reprendre sa place à côté d’elle.
— Dis moi Déb’, pourquoi tu as mis ces shoes d’ados? Tu es une femme non?
— Oui! Et parce qu’elles sont confortables, en plus on doit marcher!
— Une vraie poupée comme tu dois, ça ne devrait porter que des talons de dix centimètres, pas moins… tu ne crois pas Erik?
Erik ne sait pas quoi répondre. Il est impressionner par l’assurance du black et en même temps il aimerait prendre la défense de sa femme.
— Oui c’est sûr, mais en vacances, on se dit qu’on peut être à l’aise…
— Mouais! Enfin moi je préfère que les filles avec qui je sors soient en talons… pour les prochaines fois, tu lui trouveras une paire de talons.. ok?!
— Ce serait une bonne idée
— tu es d’accord poupée!
Déborah le regarde méchamment. Il est vraiment culotté de me dire ce que je dois porter, se dit-elle. Mais, il n’a pas tort avec cette robe, elle serait plus élégante en talons.
— Euh… Je sais pas… Je verrais ça demain!
— Tiens! Regarde celles-là en vitrine, elles seront parfaites…
— Euh… oui peut-être, répond Déborah en regardant des escarpins vernis avec un talon comme elle n’en a jamais porté.
— Pas peut-être, c’est sûr! Tiens, voilà on arrive… Super, ma table préférée est libre! Assieds-toi là, je vais mettre à côté et toi Erik, en face Ok!
Faisant contre mauvaise fortune bon coeur, erik s’installe sur la chaise que lui présente Mike. Il sera dos à la place et à l’océan.
Pour Déborah, cette place est un véritable défi. Sur cette table haute, avec sa robe qui lui remonte très haut sur les cuisses, elle va devoir faire attention à la manière dont elle se tient si elle ne veut pas trop en montrer aux passants. Cette situation amuse Mike qui appelle la serveuse.
Sans leur demander vraiment leur avis, il commande une planche de charcuterie et autres à partager.
— Agnieszka, apporte nous une bouteille de champagne!
La serveuse blonde regarde Déborah avec un brin de jalousie dans les yeux. Déborah est surprise : “Que va-t-elle s’imaginer? que je sors avec ce macho?!”
Mike sans gène regarde le cul de la serveuse moulé sous une jupe très courte et dont la cambrure est renforcée par les talons qu’elle porte.
— tu vois! Les talons, rien de mieux pour faire un joli cul! Et, encore plus haut, ce serait mieux.
Erik boit les paroles de Mike alors que Les pensées de Déborah commencent à s’agacer de la goujaterie de Mike, mais son côté bad-boy commence à l’attirer, au moins, lui il ose! Elle s’aperçoit à cet instant, qu’un jeune lorgne vers son entrecuisse. Elle réalise qu’elle a relâché son attention et légèrement écarté les cuisses. Mike se rend compte de sa gêne :
— Je crois que Déb’ à un admirateur!
Quand Erik se retourne, le jeune a disparu et Déborah pique un fard. Elle baisse les yeux.
— Qu’est ce qu’il a pu voir? demande Mike à Déborah
Elle bafouille, elle ne sait pas quoi répondre.
— rien! affirme t-elle.
— Vu le temps qu’il est resté à fixer tes cuisses, je ne dirai pas ça dit Mike en riant. Tu portes un string? Quoique c’est pas obligé?
— Si, c’est obligé, tu me prends pour qui? lui répond-elle l’air outragée.
— Je sais pas encore qui tu es mais j’en déduis que t’as mis un string, hahaha!
Vexée, Déborah se défend un brin provocatrice :
— Et non c’est pas un string! T’as une image des femmes, c’est fou! Toi!
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